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Jean-Pierre Valet
Paléomagnétisme
Ses travaux portent sur l'étude des variations de la direction et de l'intensité du champ magnétique terrestre dans le passé. Il s'intéresse également aux mécanismes d'acquisition des aimantations dans les sédiments et les coulées volcaniques.
Sylvie Vergniolle
Dynamique des Fluides Géologiques
Chargée de recherche au CNRS, s'intéresse aux mécanismes physiques sous-jacents, à la dynamique des éruptions. Elle analyse en particulier le son émis par le volcan en éruption, et développe des modèles en laboratoire pour mieux caractériser les éléments clés de l'activité volcanique (dynamique des bulles dans les liquides visqueux).
Jean-Pierre Vilotte
Sismologie
Physicien à l'IPGP. Il dirige le département de modélisation physique et numérique de l'IPGP et l'équipe modélisation/tomographie du département de sismologie. Ses domaines de recherche sont actuellement : la modélisation numérique de la propagation d'onde 3D en milieu hétérogène à l'échelle globale et régionale, la modélisation physique de la rupture sismique et du frottement dynamique, la modélisation de la dynamique des avalanches et des écoulements de débris. L'approche menée dans ces différents domaines combine théorie et expérimentation numérique et analogique.
Eric Viollier
Autre
Maître de conférence université Paris 7-Denis Diderot - De l'Archéen à nos jours, la vie sur Terre tire son énergie de multiples réactions d'oxydoréduction. Les premiers micro-organismes bactériens à avoir développé ces métabolismes sont toujours représentés dans les environnements extrêmes (conduits et évents hydrothermaux, milieux hypersalés) ou dans les systèmes aquatiques de surface et de subsurface (sédiments aquatiques, bassins anoxiques marins et continentaux). Les conséquences géochimiques de cette activité biologique continuent de se traduire par de profondes modifications du milieu. Mes travaux sur les mécanismes biologiques et géochimiques actuels se développant dans les zones de transition redox fournissent les outils qui permettront de déchiffrer les enregistrements sédimentaires anciens et récents, de modéliser le devenir de certains contaminants ou de prévoir la réponse des écosystèmes aquatiques aux changements environnementaux. La voie scientifique empruntée, combine les outils d'investigation géochimique in situ à haute résolution spatiale ou temporelle, les expériences de cinétique ex situ en bioréacteurs et la modélisation numérique du transport réactif.
Institut de Physique du Globe de Paris - Mise à jour 11/2024
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